Ce nouvel environnement « tout numérique » répond à un besoin croissant en matière de communication. Les technologies 3D, en faisant découvrir de manière réaliste ce qui va être réalisé, aident à obtenir l’adhésion du patient à son plan de traitement. Elles contribuent aussi fortement à renforcer l’image novatrice du cabinet.
Tout sur le même logiciel
Oremia est le premier logiciel de gestion à intégrer le stockage et la visualisation des fichiers CAD-CAM 3D, directement depuis le dossier du patient. L’objet 3D est immédiatement accessible, comme peut l’être l’historique d’un acte, un courrier ou une radiographie.
Les fichiers 3D sont importés et exportés par de simples « glisser-déposer ». Oremia CAD-CAM 3D supporte déjà plus d’une vingtaine de formats, dont les plus fréquemment utilisés en CFAO dentaire.
Une gestion avancée des couleurs améliore la qualité des rendus 3D. La différenciation entre zones chaudes et froides renforce l’impression de relief et personnalise d’image.
Vous visualisez directement l’objet 3D dans Oremia. Rotation, zoom, déplacement, vous permettent de voir tout les aspects de l’objet. L’interface intuitive est optimisée pour votre utilisation.
Les différentes méthodes
Il existe actuellement deux approches pour intégrer la CAD-CAM 3D à sa pratique quotidienne.
Sur machines dédiées
La première repose sur des machines dédiées (de type CEREC), assurant l’empreinte et l’usinage des pièces prothétiques directement au fauteuil. Comme ces systèmes sont très peu ouverts, la chaine numérique se résumera bien souvent en cette seule machine autonome.
Par empreintes optiques
La seconde approche qui tend à se développer, consiste à réaliser les empreintes optiques à l’aide d’une caméra, avant de les transmettre à un laboratoire de prothèse. Cette démarche présente l’avantage d’utiliser un outillage très performant pour l’usinage. Les pièces prothétiques réalisées au laboratoire seront livrées au cabinet sous leur forme physique mais aussi numérique. Dans ce contexte, certains travaux moins complexes pourront tout de même être réalisés dans la séance au cabinet (grâce à des imprimantes 3D par exemple). L’essentiel pour le praticien est ici de garder la maîtrise de ce qu’il fabrique ou non, de pouvoir transmettre, conserver et gérer de manière rationnelle toutes ses empreintes, modèles et autres objets numériques 3D. La dématérialisation reste la clef pour améliorer la productivité d’un cabinet dentaire. Après les feuilles de soins, les documents écrits et les radiographies, cette dématérialisation s’étend donc tout naturellement aux empreintes.
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